samedi 28 décembre 2013

marguerite duras, la vie tranquille



     "... triste de la tristesse "sans raison" comme on l'est les lendemains de noce ou de rentrée du blé. Lorsque la chose est faite et qu'elle n'est plus à faire, on regarde ses mains et on est triste."


     "Il a ajouté que je n'étais pas menteuse, que si je disais des choses inexactes, c'était que j'étais encore en train de chercher la vérité."


     "On croit continuer à penser à la même chose et l'on s'aperçoit qu'on pense à autre chose."


Aucun commentaire: